• Bonjour, hier depuis ma cuisine j'ai observé le manège des mésanges bleues au nichoir.

    Une se met à l'intérieur, tandis que l'autre inspecte l'entrée et les environs du nichoir, puis elle rentre à son tour à l'intérieur, ressorts, s'envole puis revient!

    J'en conclus donc qu'elles ne vont pas tarder à faire leur nid, impossible pour le moment d'accrocher des poils de ma Poussette, il y a un vent à décorner les bœufs!

    Aujourd'hui, elles viennent mais pas beaucoup, les rafales de vents les empêchent de voler librement, il souffle encore et d'après la météo il nous faudra attendre ce soir avant de voir une accalmie!

    A ce soir Cigalette

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Le va et vient des mésanges

    Euh! là je m'envole à gauche sur la photo!

     


    6 commentaires
  • Surprise en regardant par la fenêtre ce matin au lever du jour!

    L'arcade en fer où grimpe ma vigne vierge à reculé!

    La table de jardin où se trouve la mangeoire et l'abris pour les oiseaux renversée! la petite table ronde qui supporte mes pots de plante en été, s'est envolée et est passée par dessus la clôture a plus de 10 mètres de sa place!

    Et chez Marie c'est le toit de son ancien WC au jardin qui s'est envolé et la porte grande ouverte! C'est certainement cela que j'ai entendu cette nuit un vacarme, je me demandais ce qu'il se passait, j'ai bien crus un instant que l'on avait fracturé ma porte!

    Je viens donc d'envoyer un SMS à sa fille pour la prévenir, tandis que j'ai remis en place la table du jardin et l'arcade et j'ai renforcé son arrimage!

    Lorsque le vent souffle avec force j'ai l'impression que le toit de la véranda va s'envoler!

    Cigalette

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

    Et chez Marie...

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

    Le vent emporte tout!

     

     

     


    12 commentaires
  • Dans mon jardin, j'ai découvert quelques timides violettes, serrées les unes contre les autres elles résistent aux bourrasques de vent.

    Incroyable on se croirait presque en automne, j'ai fait une mini balade avec Woopy mais avec mon gros manteau et ma capuche sur la tête et mon bâton!

    Un jeu d'ombres et de lumière sur la vallée, le soleil brille mais d'énormes nuages noirs vagabondent dans le ciel.

    Là aussi au bord de la rivière quelques violettes s'ouvrent et diffusent leur délicieux parfum.

    Comme je n'ose pas trop m'accroupir pour prendre des photos au risque de ne pouvoir me relever, j'ai donc cueillis une violette et je l'ai photographiée dès mon retour chez moi, puis je l'ai déposée devant le portarit de mon mari.

    Il aimais aussi ces petites fleurs annonciatrices du printemps.

    Cigalette

    Timides violettes

     


    10 commentaires
  • En ouvrant ma boite mails ce matin j'ai appris une bien triste nouvelle, la maman de mon amie Clio vient de s'envoler vers le ciel.

    Mais entourée de toute l'attention et l'amour de sa fille, cette maman est partie le cœur léger emportant avec elle l'image du doux visage de sa fille.

    Voici quelques jolies citations trouvée sur le net.

    Si tu aime une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux la nuit de regarder le ciel. ( Saint Exupéry )

    Dieu à donné une sœur au souvenir et il l'a appelée espérance. ( Michel Ange )

    "Ne dite pas mourir, dites naître, croyez" ( Victor Hugo )

    L'amour est la seule chose qu'on emporte dans l'éternité. ( Antoine Maillet )

    Le jardin de ce monde ne fleurit que pour un temps. ( Gandhi )

    Personne ne sait encore si tout ne vis que pour mourir ou ne meurt que pour renaître. ( Marguerite Yourcenar )

    Une pensée pour Clio

    Une pensée pour Clio

     

     


    10 commentaires
  • Au secours qui pourrais identifier ce gros insecte noir et poilus?

    Je l'ai découvert ce matin dans l'hôtel a insectes!

    Cigalette

    Gros insecte noir!

     


    8 commentaires
  • Bonjour, j'espère que vous n'avez pas oubliez d'avancer la grande aiguille de vos horloges, montres etc.

    Chez moi il reste juste deux horloges à changer, mais j'attends que Lorada et Junior soit là afin de grimper sur la chaise!

    Hier j'ai fait du coloriage comme l'infirmière me l'avait suggéré, pas d'efforts, pas de nettoyage, juste du repos et ce matin mon dos me remercie!

    Aujourd'hui pas de marché, ni balade, tout d'abord la pluie est au rendez-vous ainsi que le vent, puis je vais me ménager encore ce jour.

    Au programme, bricolage d'un panier de Pâques avec les enfants, préparation du dîner, piqure et ensuite devoirs et leçons pour demain.

    Voici donc mes coloriages, que j'ai réalisé avec des feutres, normalement je n'utilise pas les marqueurs car ils laissent des traces des hachurages que je n'aime pas trops mais bon les couleurs sont plus intenses que les crayons de couleurs.

    J'en ferais encore car j'ai trouver de jolies matriochka à colorier sur Pinterest.

    Pour les deux cartes les dessins je les ais trouvé sur ce superbe blog que je visite régulièrement, "dans mon bocal"

    Il est bourré de tutorielles, d'idées.

    A ce soir Cigalette

    Cartes et dessins

    Cartes et dessins

    Deux cartes

    Cartes et dessins

    Cartes et dessins

     


    9 commentaires
  • Bonjour, ce soir à 20 heures 50, cela feras 5 ans que mon mari s'est envolé vers l'éternité, déjà 5 ans, Dieu que le temps passe vite!

    Je ne vais pas vous écrire un article, mais je vous met un texte très émouvant écris par ma fille quelques jours après le décès de son beau-père.

    Malgré que mon époux n'était pas son père biologique, il l'aimait beaucoup et elle aussi, en plus c'est la première fois que ma fille a côtoyé la mort de si près, car c'est a elle que mon mari a offert son dernier regard et son dernier souffle!

    Texte remplis d'émotions qui vous met une boule dans la gorge au fil des mots...

    Merci ma fille!

    Cigalette

    Triste anniversaire

    La fin d'une vie, la fin d'une souffrance, la fin d'un espoir!

    28 mars 2010

     On a changé d’heure cette nuit. Une heure est passée sans qu’on s’en aperçoive.

     Réveil à huit heures, sept heures de l’ancienne heure.

     Au déjeuner, je dis à mon homme que j’ai fais un vilain rêve, j’ai rêvé que mon beau-père était mort et qu’on devait aller en train pour aller voir maman. Le rêve semblait si réel. Si dur. Dans mon rêve, je ne voyais pas le corps du second mari de ma mère, je réconfortais celle qui avait perdu son être cher avec qui elle partageait sa vie depuis près de trente ans.

     A neuf heures, mon téléphone portable sonne. Maman me demande de la rappeler vers dix heures car l’état de son mari a soudain empiré, elle a appelé le médecin.

     Dix heures moins une, juste avant que je ne compose son numéro, elle me rappelle, complètement paniquée, elle me hurle : « je crois que c’est bientôt fini, ses yeux partent, oh mon dieu, chérie… » elle me dit encore des choses mais je ne comprends pas, mes oreilles se sont bouchées aux autres signes annonciateurs d’une mort imminente. Ses sanglots me parviennent jusqu’à moi, malgré les cent vingt kilomètres qui nous séparent.

     Je raccroche, le cœur affolé. Je vais trouver mon homme dans la chambre du fiston.


    • Je vais chez ma maman, c’est fini. Il est parti.

      Je ne demande pas à ce qu’il me conduise jusque là bas car nos deux enfants sont malades.

    • Je te téléphone dès que j’arrive.

      Je ne prends pas le temps de réfléchir, je mets mes chaussures, je prends mon sac et je pars. Par « chance », j’ai toutes mes correspondances qui arrivent relativement rapidement.

       

      J’arrive chez ma maman à 13h15.

      Je me rends immédiatement dans la chambre de son mari, de l’homme que je connais depuis que je suis toute petite. Je ne le reconnais pas. Il a pris vingt ans en deux mois.

      Il est assis, les yeux fermés, il gémit. Je pense qu’il dort mais non, il est épuisé par la douleur qui l’envahit et qui le tourmente depuis plusieurs heures.

      Il ouvre un œil, j’en profite pour lui dire bonjour. Je lui dépose un  baiser sur sa joue ridée, sèche et blanche.

    • Ah Cécile. Parvient-il à me dire.

      Il me reconnaît, c’est déjà ça. Mais ses yeux s’en vont à nouveau. Son corps lutte contre la douleur et il ouvre et ferme les yeux toutes les deux à trois secondes.

    • Depuis combien de temps il est comme ça, maman ?

    • Depuis hier soir. Parfois il souffre un peu moins, comme ce matin, quand le médecin l’a vu. Mais juste après son départ, ça s’est dégradé très rapidement. Les infirmières de seconde ligne m’ont dit que je devais me préparer.

      Je n’ai pas le temps de lui répondre ou de penser à quoi que ce soit, j’entends du bruit dans la salle à manger, deux pièces plus loin. Une infirmière est là. Nous échangeons quelques mots et je lui dit qu’il est vraiment très mal. Elle doit lui faire la toilette mais il refuse, il n’a pas la force, il ne sait plus se lever, il ne tient plus sur ses jambes.

      Dans son lit, il cherche une position qui ne lui fasse pas mal.  L’infirmière lui change les patch antidouleurs. Il est à moitié couché, sur le dos, elle n’ose pas le relever pour mettre les nouveaux. Elle lui relève le haut de son pyjama et lui met les nouveaux sur la poitrine.

      « Qu’il est maigre » me dis-je au fond de moi. Je ne l’ai jamais connu très gros mais là, l’expression « avoir la peau sur les os » lui colle à la peau. Je vois ses côtes, je perçois les battements de cœur juste au sternum.

      L’infirmière me demande de l’aider afin qu’elle enlève les patchs qui sont finis et qui se trouvent dans le haut du dos…là je vois la forme de la colonne vertébrale à travers la peau, ses omoplates et tous ses autres os tendent la peau.

      L’infirmière part. Elle pense aussi qu’il n’en a plus pour longtemps.

       

      Maman lui a déjà donné des gouttes antidouleurs mais plus rien ne fait effet.

      Il gémit continuellement. Quand il change de position, il hurle de mal. Rien ne lui convient.

      Puis il a chaud, très chaud. Il demande qu’on lui enlève son pull de pyjama. Sa peau est cyanosée, son port à cath ressort tellement que j’ai l’impression qu’un simple frottement peut déchirer sa peau.

       

      Ses intestins se sont vidés, il le sait, il a un lange. Il demande à ce qu’on le lui enlève et me dit :

    • Tu as déjà vu un zizi, hein.

    • Oh oui, ne t’inquiète pas pour ça, lui répondis-je en souriant tristement.

      J’aide maman car il n’a plus la force de se lever, pas même son bassin. On lui en remet un autre comme on peut…J’ai peur de le casser quand je soulève ses fesses, j’ai peur de lui faire encore plus mal.

       

    • Oh j’ai mal, mais qu’est-ce que j’ai mal. Qu’est-ce que j’ai fais pour souffrir comme ça ? Maman, maman, que c’est dur de mourir, murmure-t-il.

      Il gémit, il pleure, il souffre, il se tord de douleur.

       

      Il a des crampes à ses cuisses, je les lui masse avec une crème que je trouve.

      Il a d’énormes œdèmes à ses chevilles. Ses jambes sont blanches et froides et dures aussi. Une jambe suinte… »on ne sait rien faire à ça » m’a dit l’infirmière tout à l’heure, « si ce n’est lui mettre un lange pour absorber le liquide qui s’en va ». Je lui ai mis ça mais est-ce que ça lui fait vraiment quelque chose ?

       

      Son teint devient jaune.

       

      Maman et moi on essaie qu’il se repose mais il a tellement mal partout qui lui est impossible d’essayer de s’endormir.

    • Comment va être ma nuit ? se questionne-t-il.

      Il a peur de la nuit, c’est plus calme, il fait noir…mais je pense qu’il a peur de s’endormir car il sait qu’il ne va peut être plus jamais se réveiller. Même s’il nous dit de ne pas avoir peur de « ça ».

      Maman finit par appeler le médecin car il souffre trop ! Son pieds où sa jambe suinte est bleu. Il dit qu’il ne sent plus sa jambe, qu’elle ne lui répond plus. Maman peut lui donner d’autres gouttes antidouleurs, des autres. 

       

      Avec ses poings, il se frappe le torse. Maman et moi on lui prend chacune une main et on essaie de le calmer…

       

      De temps à autre, quand il sait encore s’asseoir, il couche sa tête sur mes genoux, ou sur ceux de maman. Mais, il finira pas ne plus savoir se redresser. Il restera couché.

       

      Il s’hydrate grâce à une éponge fixée sur un bâton.

       

      Il a tellement chaud qu’il nous demande de le déshabiller complètement et d’ouvrir la fenêtre. Je le sens fiévreux, mais on ne prend pas sa température.

    • Enlevez tout, ça me pique, ça me brûle.

      Tout frottement l’énerve, tout effleurement prolongé l’irrite.

      Maman lui caresse un bras, ça l’apaise. Je lui masse le ventre, ça le calme un très bref instant. Mais surtout, ne pas le toucher trop longtemps.

       

      Maman n’a plus mangé ni dormi depuis quatre jours et quatre nuits. Je lui prépare à manger et nous nous relayons pour avaler un petit quelque chose. La nuit risque d’être longue, très longue. Je préviens maman qu’elle doit vraiment se préparer. Que ce n’est plus qu’une question d’heures.

       

    • Tu peux rentrer chez toi, parvient-il à articuler entre deux épisodes d’éveil sans douleur.

    • Non, je passe la nuit ici, je reste près de toi, lui répondis-je les yeux remplis de larmes que j’essaie de ne pas montrer devant lui.

    • Merci, merci beaucoup, me chuchote-t-il avant de fermer les yeux et d’oublier ce qu’il vient de dire.

       

      Je lui prends la main mais parfois il l’accepte, parfois il la refuse, là il la refuse.

       

      Vingt heures, le médecin arrive pour lui faire des piqûres de morphine. Il attend son médecin avec grande impatience, il aime beaucoup son docteur. Elle lui pose quelques questions mais il ne veut rien.

    • Pas envie de télévision, pas maintenant, plus tard, dit-il, les yeux encore fermés.

      Il lui dit même :

    • Je n’ai même pas fumé aujourd’hui, pas envie, plus tard.

      Le médecin a sourit. Puis elle prend la seringue et fait sortir une ou deux gouttes de morphine :

    • Attention, je vais vous piquer, ça va un peu pincer. Je vous fais mal, monsieur, lui demande-t-elle avec une infinie gentillesse

    • Non, un peu, ça va, lui répond-il.

      Il est tellement maigre que je peux voir le trajets du produit sous sa peau. Le docteur doit même piquer à un autre endroit pour finir la seringue.

    • Je demande à l’infirmière des soins palliatifs de vous installer une pompe à morphine avec un calmant dedans. Mais il ne faudra pas l’arracher, elle sera mise sur votre ventre, monsieur.

      Mais déjà, il ne répond plus. En effet, il s’apaise rapidement. Ce laps de temps où il peut souffler, et nous espérer qu’il n’ait plus mal, est très court. Après dix à quinze minutes, il gémit à nouveau.

      Maman n’en peut plus de le voir ainsi. Elle a mal pour lui, elle pleure beaucoup. Je l’invite à se faire un café et à essayer de se reposer dans le salon.

      Quand elle part, mon beau père me demande :

    • Coupe moi des morceaux de viande, tu veux bien, et laisse les comme ça.

      Il reste conscient même s’il a quelques moments d’égarements. Il sait qu’il souffre, il sait de quelle maladie il va mourir, il sait qu’il ne parvient plus à parler comme il faut ni à penser correctement et ça l’embête beaucoup. Parfois il lâche des phrases qui n’ont aucun sens, alors on dit « oui » et on lui prend la main…et il referme ses yeux aussitôt.

       

      Il est tout nu, allongé sur son lit et il attend…il attend quoi ? la mort ? la lumière ? le sommeil ? Moi j’espère qu’il s’endorme rapidement, je prie, même si je ne suis pas croyante, je supplie n’importe qui, n’importe quoi afin qu’il ne souffre plus et qu’il parte au plus vite.

       

      Enfin, il a l’air de se calmer. Il ne lutte plus. Il respire sans gémir et plus calmement, moins profondément.

      Maman passe la tête dans la chambre mais elle n’arrive pas à ne plus pleurer.

    • Reste là bas, je te préviendrai au moindre changement, lui dis-je de ma voix la plus rassurante possible.

       

      Je n’ose plus bouger, de peur de le réveiller, d’interrompre son calme. Je sais qu’il va bientôt partir mais j’ai comme l’impression que c’est quelqu’un d’autre qui me dit ça…je sais mais je ne veux pas l’accepter.

       

      Ses yeux sont ouverts et ils fixent le plafond. Son bras qui se trouve près de moi se relève soudainement comme pour me demander de lui prendre la main mais je n’ai pas le temps de toucher ses doigts que son bras redescend et repose sur le bord de son lit.

      Je l’observe. Il déglutit encore une fois.

      Pendant un certain temps, mes yeux s’immobilisent à l’endroit où je peux voir les battements de son cœur. C’est tout juste si je me rends compte qu’il ne cligne plus des yeux, ni qu’il respire de moins en moins longtemps et de moins en moins souvent. Son cœur bat encore mais le mouvement est moins fort, moins rapide. Mais il bat toujours. Faiblement. Doucement. Lentement. Puis, il s’arrête. Enfin, je le crois. J’attends. Je m’approche un peu plus. Je n’ose pas le toucher, ni lui parler. Je me lève. Je dois prévenir maman. Mais je ne veux pas lui annoncer cette terrible nouvelle si je ne suis pas sûre de moi. Alors, je prends son pouls à son poignet…je ne sens rien. Je colle ensuite une oreille sur sa poitrine et j’écoute. Rien, même si je veux (j’espère) croire l’inverse. Puis, il me semble encore entendre ses gémissements.


    « Non, il a assez souffert comme ça, il vaut mieux qu’il soit parti. »  me dis ma petite voix intérieure.

     Je me lève et me dirige alors vers le salon. Je trouve maman debout, fixant le jardin. Elle se retourne vers moi quand je pousse l’unique porte en verre qui nous sépare. Ses  yeux sont gonflés de chagrin, son regard me supplie de ne pas lui dire ce qu’elle redoute :


    • C’est fini maman.

      Cécile 

     

     


    20 commentaires
  • Et voilà la journée de terminée, j'ai nettoyer la salle à manger, la véranda et la cuisine le reste seras pour demain.

    Junior a eu 8 1/5 sur 10 pour son poème!

    Je vous souhaite une très bonne soirée a demain, Cigalette

    Bonne soirée


    6 commentaires
  • Le facteur ce midi m'a apporté un colis envoyé par ma fille, encore une fois elle m'a bien gâtée!

    Des feuilles de feutrine, des sujets en feutrine pour mes décorations, un livre pour réaliser des jeux en feutrine.

    Et mes petits-enfants ne m'ont pas oublié non plus quelques beaux objets réalisés avec des perles à repasser HAMA, deux beaux dessins, un bracelet et une jolie lettre.

    Me voici à nouveau bien outillée pour réaliser pleins de jolies choses.

    Ma jambe va mieux mais mon dos par contre rouspète l'humidité n'est pas bonne pour nos vieux os et on nous annonce un WE pluvieux et venteux!

    A tantôt, Cigalette

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille

    Colis de ma fille


    10 commentaires
  • Hier soir Junior a appris une poésie pour l'école, cette jolie poésie à été écrite par Paul Géraldy et s'intitule "Bonjour"

    Vous constaterez que Junior est encore un peu hésitant mais je suis certaine qu'à l'école tout se passeras bien.

    D'ailleurs à la fin de la récitation Woopy approuve avec son cuicui!

    Cigalette

     

    Bonjour

    Comme un diable au fond de sa boîte,

    le bourgeon s'est tenu caché...

    mais dans sa prison trop étroite,

    il baille et voudrait respirer.

     

    Il entend des chants, des bruits d'ailes,

    il a soif de grand jour et d'air...

    il voudrait savoir les nouvelles,

    il fait craquer son corset vert.

     

    Puis, d'un geste brusque, il déchire

    son habits étroit et trop court

    "enfin se dit-il, je respire,

    je vis, je suis libre...bonjour!"

     

    Paul Géraldy ( 1885-1983)

     

     

     

     

     


    7 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires