• Bonsoir les ami(e)s enfin je me décide à arrêter jusqu'à demain la construction du château-fort, normalement c'était Lorada et Junior qui devaient le faire mais c'est bien trop compliqué, couper droit, coller, imprimer, agrafer etc...

    Tantôt ils sont venus en rentrant chez eux avec leur maman, vous auriez du voire leurs figures en voyant les premiers murs du château terminé...

    En effet je n'aurais jamais penser que cela m'aurais demandé autant de concentration et de manipulation, tout d'abord faire le tri de toutes les boites en cartons, ensuite plusieurs tentatives afin de trouver les bons murs de plus ou moins la même hauteur.

    Mais ils en avaient tellement envie de leur château pour y faire circuler leurs playmobils! Que je n'ai put résister de leurs en construire un et en même temps cela servira pour le défi de Khanel.

    Voilà, je vous souhaite une bonne soirée a demain, Cigalette

    Bonne soirée


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  • Sur le feuillet de mon calendrier sablier du temps j'ai lus ceci...

    - Je crois que je vois trois fois trois foies d'oie.

    - Tu crois que tu voie trois fois trois foies d'oie.

    - Il croit qu'il voit trois fois trois foies d'oie.

    - Nous croyons que nous voyons trois fois trois foies d'oie.

    - Vous croyez que vous voyez trois fois trois foies d'oie.

    - Ils croient qu'ils voient trois fois trois foies d'oie.

     

    Une bonne manière de réviser sa conjugaison!! Et en prime un petit dessin de Cigalette...

    Articulation...

     


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  • Bonjour, ce matin je me suis appliquée à compter les voix des participants au concours photos, je suis vraiment étonnée que les gagnants du concours sont ceux qui aurons récoltés le plus de voix et non pour avoir proposé la plus jolie photos!

    Certains ont plus de 200 voix avec des clichés qui n'ont parfois rien avoir avec le thème, ou qui ne sont pas nettes!

    Alors vous comprenez que les personnes qui ont plus de 200 amis sur...

    Merci de vos votes mais...

    Ceux-là grimpent aussi vite qu'une flèche, je n'ai hélas que 59 amis sur Facebook plus vous tous qui avez gentiment accepté de voter, je vous en remercie.

    Mais bon c'est ainsi au lieu de monter j'ai fait une chute jusqu'à la 9ième place, le principal c'est que dans les derniers lots il y aie aussi un pass à gagner je pourrais peut-être faire quelques heureux parmi mes petits-enfants.

    Encore mille merci pour votre aimable participation, Cigalette


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  • Afin de mettre tous les atouts de mon côté je viens de rajouter une photo pour le concours, pour le moment je suis a la sixième place, mon objectif est d'atteindre la troisième place pour emporter l'hôtel a insectes et un livre et surtout les pass pour divers parc naturelle.

    Merci de voter pour ma nouvelle photo avant le 5 avril, Cigalette

    http://concours.semainesanspesticides.be/fr/photocontest/contribution-list/pseudo/Cigalette#Anchor

     

    Voici la photo que vous trouverez sur le site du concours sur le lien ci dessus merci a vous.

    Dernières chances pour le concours


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  • Ce matin j'ai téléphoné à la commune car l'égout devant chez moi était bouché et avec les fortes pluies, l'eau débordait sur le trottoir et je craignais qu'elle ne s'introduise par le soupirail de ma cave!

    Junior venait d'arriver pour faire ses devoirs et réviser ses leçons lorsque le camion citerne d'aspiration de la commune s'est arrêté pour déboucher l'égout.

    Junior et Woopy se sont mis devant la fenêtre afin d'observer le travail, un des hommes est resté dans la cabine du tracteur afin d'activer le moteur de l'aspirateur, tandis que l'autre qui avait déjà retiré la grille enfonçais le gros tuyau dans l'égout.

    Tout à coup il s'est mis a crier en direction de son collègue resté dans la cabine, celui-ci est descendus afin de venir en aide a son compagnon qui semble t-il rencontrais quelques difficultés.

    Nous étions tous intrigués car les deux hommes entraient et sortaient le gros tuyau de l'égout lorsque soudainement, ils ont reculés, je me suis mise sur la pointe des pieds afin de mieux voir et devinez ce qu'il y avait collé à l'ouverture du tuyau???

     

    Allez, vous ne devinez pas...un gros... POISSON

    Incroyable!

    Incroyable!

     

     

     

     


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  • Puisque c'est le jour du poisson...

     

    Premier jour du mois

    Prenez garde a qui vous suit

    Poisson vous guette

    Cigalette

    Snossiop lirva 'd

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Nossiop

    Montage photo avec les poissons de ma fille et coloriage digitale

    Nossiop

    Coloriage zen


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  • En ouvrant ma boite mails ce matin j'ai appris une bien triste nouvelle, la maman de mon amie Clio vient de s'envoler vers le ciel.

    Mais entourée de toute l'attention et l'amour de sa fille, cette maman est partie le cœur léger emportant avec elle l'image du doux visage de sa fille.

    Voici quelques jolies citations trouvée sur le net.

    Si tu aime une fleur qui se trouve dans une étoile, c'est doux la nuit de regarder le ciel. ( Saint Exupéry )

    Dieu à donné une sœur au souvenir et il l'a appelée espérance. ( Michel Ange )

    "Ne dite pas mourir, dites naître, croyez" ( Victor Hugo )

    L'amour est la seule chose qu'on emporte dans l'éternité. ( Antoine Maillet )

    Le jardin de ce monde ne fleurit que pour un temps. ( Gandhi )

    Personne ne sait encore si tout ne vis que pour mourir ou ne meurt que pour renaître. ( Marguerite Yourcenar )

    Une pensée pour Clio

    Une pensée pour Clio

     

     


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  • Bonjour, ce soir à 20 heures 50, cela feras 5 ans que mon mari s'est envolé vers l'éternité, déjà 5 ans, Dieu que le temps passe vite!

    Je ne vais pas vous écrire un article, mais je vous met un texte très émouvant écris par ma fille quelques jours après le décès de son beau-père.

    Malgré que mon époux n'était pas son père biologique, il l'aimait beaucoup et elle aussi, en plus c'est la première fois que ma fille a côtoyé la mort de si près, car c'est a elle que mon mari a offert son dernier regard et son dernier souffle!

    Texte remplis d'émotions qui vous met une boule dans la gorge au fil des mots...

    Merci ma fille!

    Cigalette

    Triste anniversaire

    La fin d'une vie, la fin d'une souffrance, la fin d'un espoir!

    28 mars 2010

     On a changé d’heure cette nuit. Une heure est passée sans qu’on s’en aperçoive.

     Réveil à huit heures, sept heures de l’ancienne heure.

     Au déjeuner, je dis à mon homme que j’ai fais un vilain rêve, j’ai rêvé que mon beau-père était mort et qu’on devait aller en train pour aller voir maman. Le rêve semblait si réel. Si dur. Dans mon rêve, je ne voyais pas le corps du second mari de ma mère, je réconfortais celle qui avait perdu son être cher avec qui elle partageait sa vie depuis près de trente ans.

     A neuf heures, mon téléphone portable sonne. Maman me demande de la rappeler vers dix heures car l’état de son mari a soudain empiré, elle a appelé le médecin.

     Dix heures moins une, juste avant que je ne compose son numéro, elle me rappelle, complètement paniquée, elle me hurle : « je crois que c’est bientôt fini, ses yeux partent, oh mon dieu, chérie… » elle me dit encore des choses mais je ne comprends pas, mes oreilles se sont bouchées aux autres signes annonciateurs d’une mort imminente. Ses sanglots me parviennent jusqu’à moi, malgré les cent vingt kilomètres qui nous séparent.

     Je raccroche, le cœur affolé. Je vais trouver mon homme dans la chambre du fiston.


    • Je vais chez ma maman, c’est fini. Il est parti.

      Je ne demande pas à ce qu’il me conduise jusque là bas car nos deux enfants sont malades.

    • Je te téléphone dès que j’arrive.

      Je ne prends pas le temps de réfléchir, je mets mes chaussures, je prends mon sac et je pars. Par « chance », j’ai toutes mes correspondances qui arrivent relativement rapidement.

       

      J’arrive chez ma maman à 13h15.

      Je me rends immédiatement dans la chambre de son mari, de l’homme que je connais depuis que je suis toute petite. Je ne le reconnais pas. Il a pris vingt ans en deux mois.

      Il est assis, les yeux fermés, il gémit. Je pense qu’il dort mais non, il est épuisé par la douleur qui l’envahit et qui le tourmente depuis plusieurs heures.

      Il ouvre un œil, j’en profite pour lui dire bonjour. Je lui dépose un  baiser sur sa joue ridée, sèche et blanche.

    • Ah Cécile. Parvient-il à me dire.

      Il me reconnaît, c’est déjà ça. Mais ses yeux s’en vont à nouveau. Son corps lutte contre la douleur et il ouvre et ferme les yeux toutes les deux à trois secondes.

    • Depuis combien de temps il est comme ça, maman ?

    • Depuis hier soir. Parfois il souffre un peu moins, comme ce matin, quand le médecin l’a vu. Mais juste après son départ, ça s’est dégradé très rapidement. Les infirmières de seconde ligne m’ont dit que je devais me préparer.

      Je n’ai pas le temps de lui répondre ou de penser à quoi que ce soit, j’entends du bruit dans la salle à manger, deux pièces plus loin. Une infirmière est là. Nous échangeons quelques mots et je lui dit qu’il est vraiment très mal. Elle doit lui faire la toilette mais il refuse, il n’a pas la force, il ne sait plus se lever, il ne tient plus sur ses jambes.

      Dans son lit, il cherche une position qui ne lui fasse pas mal.  L’infirmière lui change les patch antidouleurs. Il est à moitié couché, sur le dos, elle n’ose pas le relever pour mettre les nouveaux. Elle lui relève le haut de son pyjama et lui met les nouveaux sur la poitrine.

      « Qu’il est maigre » me dis-je au fond de moi. Je ne l’ai jamais connu très gros mais là, l’expression « avoir la peau sur les os » lui colle à la peau. Je vois ses côtes, je perçois les battements de cœur juste au sternum.

      L’infirmière me demande de l’aider afin qu’elle enlève les patchs qui sont finis et qui se trouvent dans le haut du dos…là je vois la forme de la colonne vertébrale à travers la peau, ses omoplates et tous ses autres os tendent la peau.

      L’infirmière part. Elle pense aussi qu’il n’en a plus pour longtemps.

       

      Maman lui a déjà donné des gouttes antidouleurs mais plus rien ne fait effet.

      Il gémit continuellement. Quand il change de position, il hurle de mal. Rien ne lui convient.

      Puis il a chaud, très chaud. Il demande qu’on lui enlève son pull de pyjama. Sa peau est cyanosée, son port à cath ressort tellement que j’ai l’impression qu’un simple frottement peut déchirer sa peau.

       

      Ses intestins se sont vidés, il le sait, il a un lange. Il demande à ce qu’on le lui enlève et me dit :

    • Tu as déjà vu un zizi, hein.

    • Oh oui, ne t’inquiète pas pour ça, lui répondis-je en souriant tristement.

      J’aide maman car il n’a plus la force de se lever, pas même son bassin. On lui en remet un autre comme on peut…J’ai peur de le casser quand je soulève ses fesses, j’ai peur de lui faire encore plus mal.

       

    • Oh j’ai mal, mais qu’est-ce que j’ai mal. Qu’est-ce que j’ai fais pour souffrir comme ça ? Maman, maman, que c’est dur de mourir, murmure-t-il.

      Il gémit, il pleure, il souffre, il se tord de douleur.

       

      Il a des crampes à ses cuisses, je les lui masse avec une crème que je trouve.

      Il a d’énormes œdèmes à ses chevilles. Ses jambes sont blanches et froides et dures aussi. Une jambe suinte… »on ne sait rien faire à ça » m’a dit l’infirmière tout à l’heure, « si ce n’est lui mettre un lange pour absorber le liquide qui s’en va ». Je lui ai mis ça mais est-ce que ça lui fait vraiment quelque chose ?

       

      Son teint devient jaune.

       

      Maman et moi on essaie qu’il se repose mais il a tellement mal partout qui lui est impossible d’essayer de s’endormir.

    • Comment va être ma nuit ? se questionne-t-il.

      Il a peur de la nuit, c’est plus calme, il fait noir…mais je pense qu’il a peur de s’endormir car il sait qu’il ne va peut être plus jamais se réveiller. Même s’il nous dit de ne pas avoir peur de « ça ».

      Maman finit par appeler le médecin car il souffre trop ! Son pieds où sa jambe suinte est bleu. Il dit qu’il ne sent plus sa jambe, qu’elle ne lui répond plus. Maman peut lui donner d’autres gouttes antidouleurs, des autres. 

       

      Avec ses poings, il se frappe le torse. Maman et moi on lui prend chacune une main et on essaie de le calmer…

       

      De temps à autre, quand il sait encore s’asseoir, il couche sa tête sur mes genoux, ou sur ceux de maman. Mais, il finira pas ne plus savoir se redresser. Il restera couché.

       

      Il s’hydrate grâce à une éponge fixée sur un bâton.

       

      Il a tellement chaud qu’il nous demande de le déshabiller complètement et d’ouvrir la fenêtre. Je le sens fiévreux, mais on ne prend pas sa température.

    • Enlevez tout, ça me pique, ça me brûle.

      Tout frottement l’énerve, tout effleurement prolongé l’irrite.

      Maman lui caresse un bras, ça l’apaise. Je lui masse le ventre, ça le calme un très bref instant. Mais surtout, ne pas le toucher trop longtemps.

       

      Maman n’a plus mangé ni dormi depuis quatre jours et quatre nuits. Je lui prépare à manger et nous nous relayons pour avaler un petit quelque chose. La nuit risque d’être longue, très longue. Je préviens maman qu’elle doit vraiment se préparer. Que ce n’est plus qu’une question d’heures.

       

    • Tu peux rentrer chez toi, parvient-il à articuler entre deux épisodes d’éveil sans douleur.

    • Non, je passe la nuit ici, je reste près de toi, lui répondis-je les yeux remplis de larmes que j’essaie de ne pas montrer devant lui.

    • Merci, merci beaucoup, me chuchote-t-il avant de fermer les yeux et d’oublier ce qu’il vient de dire.

       

      Je lui prends la main mais parfois il l’accepte, parfois il la refuse, là il la refuse.

       

      Vingt heures, le médecin arrive pour lui faire des piqûres de morphine. Il attend son médecin avec grande impatience, il aime beaucoup son docteur. Elle lui pose quelques questions mais il ne veut rien.

    • Pas envie de télévision, pas maintenant, plus tard, dit-il, les yeux encore fermés.

      Il lui dit même :

    • Je n’ai même pas fumé aujourd’hui, pas envie, plus tard.

      Le médecin a sourit. Puis elle prend la seringue et fait sortir une ou deux gouttes de morphine :

    • Attention, je vais vous piquer, ça va un peu pincer. Je vous fais mal, monsieur, lui demande-t-elle avec une infinie gentillesse

    • Non, un peu, ça va, lui répond-il.

      Il est tellement maigre que je peux voir le trajets du produit sous sa peau. Le docteur doit même piquer à un autre endroit pour finir la seringue.

    • Je demande à l’infirmière des soins palliatifs de vous installer une pompe à morphine avec un calmant dedans. Mais il ne faudra pas l’arracher, elle sera mise sur votre ventre, monsieur.

      Mais déjà, il ne répond plus. En effet, il s’apaise rapidement. Ce laps de temps où il peut souffler, et nous espérer qu’il n’ait plus mal, est très court. Après dix à quinze minutes, il gémit à nouveau.

      Maman n’en peut plus de le voir ainsi. Elle a mal pour lui, elle pleure beaucoup. Je l’invite à se faire un café et à essayer de se reposer dans le salon.

      Quand elle part, mon beau père me demande :

    • Coupe moi des morceaux de viande, tu veux bien, et laisse les comme ça.

      Il reste conscient même s’il a quelques moments d’égarements. Il sait qu’il souffre, il sait de quelle maladie il va mourir, il sait qu’il ne parvient plus à parler comme il faut ni à penser correctement et ça l’embête beaucoup. Parfois il lâche des phrases qui n’ont aucun sens, alors on dit « oui » et on lui prend la main…et il referme ses yeux aussitôt.

       

      Il est tout nu, allongé sur son lit et il attend…il attend quoi ? la mort ? la lumière ? le sommeil ? Moi j’espère qu’il s’endorme rapidement, je prie, même si je ne suis pas croyante, je supplie n’importe qui, n’importe quoi afin qu’il ne souffre plus et qu’il parte au plus vite.

       

      Enfin, il a l’air de se calmer. Il ne lutte plus. Il respire sans gémir et plus calmement, moins profondément.

      Maman passe la tête dans la chambre mais elle n’arrive pas à ne plus pleurer.

    • Reste là bas, je te préviendrai au moindre changement, lui dis-je de ma voix la plus rassurante possible.

       

      Je n’ose plus bouger, de peur de le réveiller, d’interrompre son calme. Je sais qu’il va bientôt partir mais j’ai comme l’impression que c’est quelqu’un d’autre qui me dit ça…je sais mais je ne veux pas l’accepter.

       

      Ses yeux sont ouverts et ils fixent le plafond. Son bras qui se trouve près de moi se relève soudainement comme pour me demander de lui prendre la main mais je n’ai pas le temps de toucher ses doigts que son bras redescend et repose sur le bord de son lit.

      Je l’observe. Il déglutit encore une fois.

      Pendant un certain temps, mes yeux s’immobilisent à l’endroit où je peux voir les battements de son cœur. C’est tout juste si je me rends compte qu’il ne cligne plus des yeux, ni qu’il respire de moins en moins longtemps et de moins en moins souvent. Son cœur bat encore mais le mouvement est moins fort, moins rapide. Mais il bat toujours. Faiblement. Doucement. Lentement. Puis, il s’arrête. Enfin, je le crois. J’attends. Je m’approche un peu plus. Je n’ose pas le toucher, ni lui parler. Je me lève. Je dois prévenir maman. Mais je ne veux pas lui annoncer cette terrible nouvelle si je ne suis pas sûre de moi. Alors, je prends son pouls à son poignet…je ne sens rien. Je colle ensuite une oreille sur sa poitrine et j’écoute. Rien, même si je veux (j’espère) croire l’inverse. Puis, il me semble encore entendre ses gémissements.


    « Non, il a assez souffert comme ça, il vaut mieux qu’il soit parti. »  me dis ma petite voix intérieure.

     Je me lève et me dirige alors vers le salon. Je trouve maman debout, fixant le jardin. Elle se retourne vers moi quand je pousse l’unique porte en verre qui nous sépare. Ses  yeux sont gonflés de chagrin, son regard me supplie de ne pas lui dire ce qu’elle redoute :


    • C’est fini maman.

      Cécile 

     

     


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  • Et voilà la journée de terminée, j'ai nettoyer la salle à manger, la véranda et la cuisine le reste seras pour demain.

    Junior a eu 8 1/5 sur 10 pour son poème!

    Je vous souhaite une très bonne soirée a demain, Cigalette

    Bonne soirée


    6 commentaires
  • Hier soir Junior a appris une poésie pour l'école, cette jolie poésie à été écrite par Paul Géraldy et s'intitule "Bonjour"

    Vous constaterez que Junior est encore un peu hésitant mais je suis certaine qu'à l'école tout se passeras bien.

    D'ailleurs à la fin de la récitation Woopy approuve avec son cuicui!

    Cigalette

     

    Bonjour

    Comme un diable au fond de sa boîte,

    le bourgeon s'est tenu caché...

    mais dans sa prison trop étroite,

    il baille et voudrait respirer.

     

    Il entend des chants, des bruits d'ailes,

    il a soif de grand jour et d'air...

    il voudrait savoir les nouvelles,

    il fait craquer son corset vert.

     

    Puis, d'un geste brusque, il déchire

    son habits étroit et trop court

    "enfin se dit-il, je respire,

    je vis, je suis libre...bonjour!"

     

    Paul Géraldy ( 1885-1983)

     

     

     

     

     


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