• Que faire mes amis quand dans le lot de jeans usés, il y en à certains qui ont un accroc au genoux?

    Et bien ?non!non! pas a la poubelle...

    Et ce n'est pas une graine qui à germé dans ma tête,mais une idée, je voyais une image d'un arbre, si!si! comme je vous le dit!

    Mais enfin, Cigalette, nous ne voyons pas le rapport entre une jambe de jeans usé au genou et un arbre!

    Et bien moi si, je vois un arbre qui a perdu ces feuilles et qui possède un creux dans son tronc...

     

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    Et devinez qui se cache dans le creux de notre ami l'arbre? Vous ne voyez pas? Et bien regardez...

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    Deux adorables chouettes, et parfois, la plus petite se risque à se poser sur une des branche de notre ami...

     

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  • Ma fille m'a envoyé des jeans trop petits et un peu usés des enfants, alors ce matin, je me suis mise au travail, et voilà, ce qu'est devenu le jeans:

    Le dessus un petit sac, et les jambes... de jolis vides poches, ils peuvent aussi bien contenir des boules de coton démaquillantes, que des crayons de couleurs, ou encore des boutons...

     

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    Et voici en photo, comment réaliser en un tour de main un vide poche , il suffis de deux jambes de jeans enfant et d'une grande  boîte ronde de café instant ou de poudre de lait.

     

    1. Enfilez la jambe sur la boîte, la glisser jusqu'à ce que le bord du pantalon arrive au fond de la boîte.

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    2. Faire un rentré de chaque côté, vers l'intérieur, les maintenir avec des épingles, puis piquer à la machine.

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    3. Rentrez le tout vers l'intérieur de la boite.

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    4. Poussez la couture jusque sur le fond de la boite.

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    Et maintenant, décorez suivant vos envies et suivant l'utilisation que vous réservé à votre vide poche.

    Bon amusement, Cigalette


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  • Voici un restaurant qui sort de l'ordinaire, il s'appelle le " Restautournesol",  le menu y est unique, délicieux, gratuit et à volonté.

    On y fait souvent la file...

    Cigalette

     

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  • Rouge et or...Deux couleurs superbes de l'automne

    Cigalette

     

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    Et ce matin, je peut vous confirmer que le vent souffle encore assez fort par rafles, achevant ainsi de dénuder les arbres.

    Cigalette


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  • Hier j'ai put terminé le sac à pinces à linge destiné à une amie pour Noël, il me manquais du biais assortis, chose faite lors de ma visite chez ma mercière préférée.

    Qui à été très surprise et heureuse de la mini vitrine que je lui ai faite, et je peut vous dire qu'elle étais aussi toute contente de me revoir, pensez-donc, ma dernière visite en son magasin datais du 8 février!

     

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    Maintenant, j'ai fait mes provisions en mercerie diverses et en beau tissus, tout coloré, pour passés des heures et des heures à ma machines à coudre, durant ces longues soirées d'hiver.

    Et la Télévision me direz-vous! Et bien je ne suis pas une mordue du petit écran, je regarde de temps à autre le journal ou je me visionne un DVD de film d'animation ou de documentaire, mais très rarement.

    Car bien souvent dès que j'éteind mon PC, que je m'installe devant ma TV, et bien " PAF" je m'endort et ne me demandez pas ce que j'ai regarder hier, euh...la fin du JT, le reste je ne m'en souvient plus, non pas que je dormais, mais mon esprit était à mille lieu de mon corps!

    Il était là, avec lui, car aujourd'hui, il aurais eu 68 ans...

     

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    Bisous et douce journée à tantôt

    Cigalette

     


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  • Photo, dite normalement ratée, mais que je trouve malgré tout jolie, avec ces plumes au vents, cette mésange n'a pas attendue que je lui tire le portrait, trop, pressée d'aller se restaurer.

    Cigalette

     

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  • Pour notre gentille petite fermière Lajemy  link et son casse-tête de la semaine qui est 'l'or', voici donc une petite histoire qui m'a été inspirée par cette photo, prise il y a deux ans.

     

    or

     

    L’arbre aux feuilles d’or

     

    C’est devenu une habitude, depuis bientôt trois ans que nous avons aménagés dans cette maison, mes heures de repos nocturne ce sont écourtées.

    Aux environ de quatre heures du matin, je me réveille et j’ai beau me tourner et me retourner dans mon lit, en espérant replonger une heure ou deux dans un sommeil réparateur, mais rien n’y fait !

    Alors je m’extirpe du dessous de mes couvertures, j’enfile mes pantoufles et j’emprunte les escaliers qui mènent au rez-de-chaussée, je suis suivie par mes deux chats et le chien, lui  clos le cortège.

    Dès que nous pénétrons à la queue leu leu dans la véranda, Poussy le chat noire, me fait comprendre qu’il veut sortir.

    Je fais glisser les tentures sur la raille, je tourne la clé et j’ouvre la porte, Poussy se rue à l’extérieur dans le jardin encore plongé dans le noir.

     

    Par une belle nuit d’été, juste quelques minutes après que mon chat ait été engloutis par les ombres de la nuit, je me décide de faire moi aussi un tour dans le jardin.

    Je prends soin d’allumer le spot extérieur, car je ne dit pas que je suis peureuse, mais je préfère voire où je pose mes pieds !

    Avec prudence et lenteur je me dirige vers la clôture mitoyenne qui sépare notre propriété de celle de ma voisine, au loin une chouette hulotte lance un appel, bien vite une autre lui répond.

    A l’opposé ce sont des fouines qui se disputent, leurs cris aigus raisonnent dans la vallée encore endormie.

    Soudain mon regard est attiré par une lueur jaunâtre qui perce aux travers des pins noirs planté sur le versant, de l’autre côté de la rivière.

    Étrange, quelqu’un ce serait-il perdu dans l’épaisseur de la forêt ? Un promeneur, un touriste peut être, ou tout simplement des scouts faisant un jeu de piste…

    Je n’y prête guère attention, qui que ce soit, il est libre d’aller où bon lui semble et à tout moment du jour ou de la nuit.

    Je fais un tour sur moi-même et je rentre à l’intérieur, où je me fais couler un bon café.

     

    Mais ma curiosité est piquée au vif, le lendemain à la même heure, je me précipite à la suite de mon chat dans le jardin et je me poste au même endroit  où la veille, où j’ai aperçus cette lumière presque irréelle.

    Je ne dois pas attendre bien longtemps pour qu’un halo apparaisse entre les branches des arbres.

    Dans ma tête mille questions-réponses se succèdent, je tends l’oreille, mais mis à part la respiration bruyante d’une vache couchée dans le pré,  aucun autre son ne brise la quiétude de cette nuit d’été.

    Après quelques minutes d’observation, je retourne dans la maison, après avoir énuméré les tâches ménagères les plus urgentes à exécuter dans la matinée, je suis bien décidée d’aller voire de plus près ce qu’il se passe là haut !

    C’est aux environ de quatorze heures, que mes pas m’entrainent sur le sentier abrupte qui mène à l’endroit mystérieux.

    Après plusieurs courtes pauses, afin de reprendre mon souffle, j’arrive enfin sur les lieux, comme je m’y attendais, je ne décèle rien au premier abord.

    Je pousse donc mes investigations plus à l’intérieur des fourrés, je scrute la moindre brindille et la plus fine branche, mais rien ! Absolument rien !

    Juste un arbre dénudé il doit être malade ou mort, pensais-je.

    Qu’importe, j’ai une bonne petite heure devant moi, je décide donc d’examiner le sol centimètre, par centimètre.

    Soudain j’entend une voix derrière moi :  «  Vous avez perdus quelque chose madame ? »

    Je sursaute comme prise en flagrant délit de vol, je me retourne, c’est le vieux Gustave qui habite à l’entrée du bois.

    Non, non, Gustave, juste que je suis à la recherche de petites pierres ou galets pour mes bricolages.

    « Ah, j’aime mieux çà, car perdre ces clés dans ce fouillis, par facile de les retrouver, allez, je vous laisse, bonne récolte alors ! »

    Merci Gustave, bonne promenade, soyez prudent, le chemin est dru !

    Je commence à me fatigué d’avoir le dos courbé ainsi, je décide donc, que cette ‘lueur’ est certainement un effet naturelle, peut être de la plaine lune ou d’un spot d’éclairage avec la brume nocturne qui monte du ruisseau.

    Je tourne les talons, quand, tout à coup, mes yeux sont attirés par un reflet jaune brillant, au pied de l’arbre décharner, je me balance une fois d’un côté et une fois de l’autre.

    L’intensité du scintillement varie d’après l’angle où je me situe, j’avance doucement en prenant soin de toujours suivre cette poussière brillante.

    A présent, je détecte nettement comme des grains de sables qui brillent comme de l’or.

    Juste au moment où je veux me pencher pour en prendre dans ma main, un bruissement de feuilles se fait entendre juste derrière moi.

    Il me semble que toute la vallée va entendre mes genoux  qui s’entrechoque, je suis figée sur place, j’ose à peine respirer !

    Avec lenteur je tourne ma tête, je crois à peine ce que je vois, là accroupis sous une bruyère, un petit être aux oreilles pointue et au nez crochus, m’observe de ces minuscules yeux noir.

    Je voudrais hurler, crier, appeler à l’aide, mais étrangement je suis devenue aphone, ma bouche s’ouvre, mais aucun son n’en sort.

    Le gnome me fixe dans les yeux, puis il met un doigt tout aussi crochu que son nez sur ces fines lèvres ; « Chuuuuut, ne dite rien, je ne vous veux aucun mal, mais vous avez découvert notre secret, je vais devoir vous retenir ici quelque temps. »

    J’ai peur d’ouvrir ma bouche, mais avec étonnement je peux à nouveau parler ;

    Monsieur, je vous en supplie, je vous promets de garder le silence sur ce que j’ai vu et découvert, mais je dois absolument rentrer chez moi, j’ai ma sœur qui est malade et des bêtes à soigner.

    « Hummm ! Me voici devant un dilemme, je vais en référer à mon maître, ne bougé pas, fermer les yeux une minute, je reviens… » Je veux lui répondre, mais je suis à nouveau sans voix !

    A peine quelques seconde plus tard, voici l’étrange créature qui revient, mais elle n’est pas seule, un autre gnome le suit, mais il semble bien plus âgé, ils me rejoignent tous les deux.

    -  Pomme de pin m’a tout raconté, vous avez percez notre secret, mais je lis dans vos yeux que vous être très proche de notre mère Nature, alors je vous fais confiance, et je vais vous résumer en quelques mots notre présence sur ces lieux.

    Nous sommes un peuple pacifique, il y a bien longtemps, notre cohabitation avec l’homme était bonne, mais  certain  sont avide de richesse et ferait n’importe quoi pour se procuré une pépite d’or.

    Un jour, nous avons retrouvé plusieurs de nos frères égorgés,  et l’arbre aux feuilles d’or complètement dépouillé, il ne restait que les branches.

    Nous avons donc décidé de nous expatrier plus loin dans la forêt, nous avons découvert une cachette sûr et à l’abri des curieux.

    Mais les feuilles d’or sont indispensables à notre survie, chaque matin, nous devons boire un dé d’eau de la rivière, au dessus de cette eau nous agitons une feuille d’or, de celle-ci, tombe une poussière d’or qui se  dissous complètement et nous donne l’énergie nécessaire à notre bien être.

    Alors, chaque nuit, nous redescendons jusqu’ici, nous creusons au pied de l’arbre où de nombreuses feuilles ont germées, nous les déterrons avec délicatesse, pour les replanter chez nous.

    C’est la poussière des feuilles séchées que vous avez aperçue depuis plusieurs nuits, avec la plaine lune et la brume, la lueur c’est dispersée entre les branches des arbres.

    Voilà, maintenant j’espère que j’ai pris la bonne initiative de vous faire confiance, sinon, nous serons obligés de vous rendre muette pour le restant de vos jours !

     

    Tout étonnée d’entendre à nouveau ma voix, je lui dis ;

    ‘N’ayez crainte, je sais garder un secret, puis j’ai tant à faire avec ma sœur malade, que j’aurais vite oublié votre présence, je vous remercie, et de tout mon cœur j’espère que vos arbrisseaux reprendrons vite de la vigueur’

     

    J’allais me mettre en route pour redescendre, quand la créature aux cheveux blancs me tendit une feuille, mais pas n’importe qu’elle feuille, une feuille recouverte d’or.

    « Gardez là précieusement, me dit-il et faite boire un verre d’eau de la rivière saupoudrée de paillettes d’or de cette feuille, vous verrez, elle sera vite sur pied »

     

    Merci, merci, puis je prends mes jambes à mon cou et je dévale le sentier à toute vitesse, lorsque tout à coup, mes pieds s’emmêlent dans une racine qui traverse le petit chemin, je fais un vol plané et je tombe lourdement au sol.

    Quand j’ouvre mes yeux, je suis allongée sur le banc dans le jardin, le soleil perce au dessus des rochers.

    Alors j’éclate de rire, mais qu’est ce que je suis bête,  je me suis endormie tout simplement, et j’ai fait un rêve… mais quand j’ouvre ma main gauche, j’aperçois une feuille d’or, je referme aussitôt mes doigt puis je rentre chez moi.

     

    L’après midi, je pars en balade avec mon chien, le long de la rivière, j’y remplis une bouteille d’eau et puis je fais demi-tour, sait-on jamais…

    Je rempli un verre avec l’eau de la rivière et je secoue la feuille au dessus, une fine poussière en tombe, je replace la feuille dans sa cachette.

    Je fais boire le breuvage à ma  sœur, qui à peine quelques minutes après, me dit ;

    « C’est vraiment étrange, je me sent un peu mieux, puis elle se rendort.

    Mais au fil des jours, Loriane retrouve des forces et un mois plus tard, elle me dit :

    Lili, tu ne va pas me croire, mais je ne sens plus les douleurs dans mon dos, joignant le geste  aux paroles, elle s’assied, et puis se lève de sa couche.

    « Oh, Seigneur, c’est un miracle, d’où vient cette eau que tu me fais boire depuis plusieurs jours ? »

     Juste de l’eau que j’ai puisée dans la rivière, cette eau doit détenir un secret, mais bon, tu va mieux, c’est l’essentiel, mais ‘chuuuuuuuuut’ c’est un secret entre nous deux…

     

     

    Cigalette

     

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  • Et bien mes ami(e)s aujourd'hui, le vent était déchaîné, les feuilles tourbillonnaient dans un ciel par moment gris et par instant ensoleillé.

    Mais ces rafales on dénudé pratiquement mon arbre qu je vous présentait au fil des jours, le voici donc presque tout nu!!

    Cigalette

     

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  • Avouez, que l'on aurait envie par moment d'être à leurs place, vous ne croyez-pas?

    Alors voici, de gauche à droite , les compagnons de ma vie:

     

    Sur le fauteuil, c'est miss Poussette 9 ans et des poussières, sur le divan, à gauche et tout noir, Poussy, 8 ans et 1/2 le caïd de la maison et enfin le gros paresseux, mister Billy, 8 ans depuis le 9 septembre.

     

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    D'un peu plus près, mais chuuuuuuuuuuut! ils dorment tous à pattes fermées!

     

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    Et Billy, qui prend exactement la même position que moi pour dormir!

     

    Cigalette


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