Voici enfin terminé le lampadaire pour le cadeau de la maman de petit Jules, il m'a fallut plusieurs heures de travail, mais le résultat en valais la peine.

L'abat-jour est juste recouvert de papier végétal aux motifs Africain, pour le pied j'ai utilisé des morceaux qui me restait et un ou deux motifs serviettes en papier.

Les bordures haut et bas de l'abat-jour sont agrémentés de perles en bois aussi de styles Africains et des rubans de satins et étoiles pailletées.

Cigalette

Ah mes amis, si vous saviez... Enfin vous allez bientôt la connaître ma dernière mésaventure, mais cette mésaventure -ci m'a permise  de trouver comment traiter le mot inventé pour "l'Arbre à Mots" si, si, vrai de vrai...

Le mot de cette semaine', Blédicouche" pour l'Arbre à Mots,la communauté gérée par ff du balisier de couleurs link

Voici donc pour vous une histoire vraie de tante Cigalette

Blédicouche, tiré d’ une histoire vraie de tante Cigalette

Prologue

Depuis que j’ai pris connaissance du mot inventé pour l’Arbre à mots, mon esprit très chahuté ces derniers jours à fonctionné plein gaz…

Il était une fois…

Tante Cigalette commence à ressentir doucement une grosse fatigue envahir son corps tout entier.

Pour combler ces heures d’insomnie, elle bricole les cadeaux de Noël pour ces amies dès 3 heures du matin, elle sort ces pinceaux, ces couleurs et ces serviettes en papier.

Mais hier, pas trop la forme dès 10 heure du matin, des soucis de famille, un voisin qui accumule bêtises et malheur divers sur lui et pour combler le tout, voilà que son vieux bouc de 15 ans décide d’aller voire ailleurs si l’herbe y est encore abondante !

Et vous connaissez tante Cigalette, quand il s’agit du bien être des animaux, elle retournerait la terre entière afin de trouver une solution, oui, mais voilà…

Bien vite à fore de s’énerver, de se faire du souci, de passer des coups de téléphone sur coups de téléphone, à gauche et à droite, l’estomac de notre pauvre tante produit de l’acide en excès !

Le premier repas éjecté à peine avalé, tante Cigalette décide donc de se mettre à la diète, de l’eau et des sachets antiacide prescris pas son médecin.

Aidée de son propriétaire, d’un autre gentil voisin, tante Cigalette réussi enfin à cloîtré le vieux bouc dans l’ancien poulailler et d’attendre la venue de la police et de la S P R A.

Mais 18 heures sonne au clocher du village et tante Cigalette n’à point vu l’ombre d’un képi ou d’un costume des agents de la S P R A.

Après avoir avertis tous ces amis virtuels de ces petits soucis, elle décide donc de monter ce coucher, de s’enfoncer sous les 4 épaisseurs de couette et de regarder la TV les doigts de pieds en éventail.

Mais…Mais avant de gravir les marches, la tantine se prépare un cocktail qui espère favoriseras cette fois une bonne nuit de sommeil.

Elle avale donc son cachet pour dormir avec une tisane aux herbes apaisantes Ardennaise N° 10 de l’abbé Machin .

Bien au chaud sous sa montagne de couettes, elle met la TV sous tension et zap un peu partout, enfin elle trouve un documentaire qui l’accroche immédiatement, mais de ce documentaire elle n’en verra pas beaucoup de scène, elle éteint tout et s’endort comme une marmotte.

Mais…Mais 3 heures est bien gravé sur le CD de son esprit en ébullition, qui, lui n’arrête même pas de tourner durant la nuit.

Tante Cigalette ouvre avec difficultés ces paupières gonflées et lourdes, cherche à tâtons ces pantouflettes, ces trois compagnons sont prêt à bondir du lit et de la suivre.

Voilà donc la procession qui entame la descente des escaliers, tante Cigalette mène la danse et puis tout à coup !

Boum, patatras, voici notre pauvre tante qui s’emmêle les petons dans le tapis, agrippe avec rage la rampe de sa main gauche anesthésiée par l’arthrose et dévale une a une les cinq dernières marches, elle se retrouve les jambes un peu entremêlées en un nœud grotesque.

Son esprit est complètement réveillé, elle porte son regard vers le palier, et pouf de rire malgré une petite douleur à un de ces orteils, là, assis, le chien, les deux chats la regarde avec leurs petits yeux ahuris qui semble dire  « maîtresse tu as eu une chance énorme » !!

Dès que tante Cigalette est  totalement  revenue a elle sur les carrelages glacés qui finissent de la réveiller, elle file bien vite au petit endroit, puis  lave ces grosses paluches et avale un grand verre d’eau du robinet.

Ouvre la porte de la véranda, afin que Poussy aille faire son petit tour dans les environs où tout est encore calme.

Mais il y a un brouillard épais et Poussy, qui n’est plus aussi vaillant et téméraire que dans sa jeunesse frappe avec force de ces deux pattes avant la vitre, « maman, maman, ouvre moi, il fait froid »

Dès qu’il est rentré, tante Cigalette décide de s’allonger sur le divan, Poussy se cale contre-elle, et tantine replonge dans un sommeil entrecoupé de réveil en sursauts.

Lorsque pour la énième fois tante Cigalette se réveille avec frayeur, elle se dresse sur son céans et revois par épisode des flash entrecouper par la réalité de ces drôles de rêves.

Tout d’abord elle se voit faire des photos avec son A P N,  mais ce qu’elle photographie tiens de la science fiction, des énormes pompons de fleurs de pissenlits où sont accrochés de minuscules robots rouges, comme Nono…

Ceux-ci s’exercent au saut de parachute avec les akènes de la plante…Bizarre…Bizarre !

Puis voilà notre tante Cigalette qui se voit occupée à tisser des couches pour bébés avec des épis de blés écrasés, encore plus étonnant, elle les trempe ensuite dans l’eau et les suspend à un fil.

Mais là bien vite des souris blanche en origamis  prennent vie, puis s’élancent à l’assaut du blé en couche, elles ont tôt fait de tout grignoter…

Alors notre Cigalette dès qu’elle termine une autre couche en blé enduit celle-ci de colle faite de farine et d’eau , la colle se dilue bien et s’étale bien entre les grains écrasés, la blédicouche est donc née.

Bien vite une grande foule de jeunes mamans se presse chez elle afin de venir toucher, observer et acheter ces blédicouches en plus d’être très douce au derrière de bébé, de sentir bon, cette couche  est solide et entièrement recyclable.

Pour fêter son invention, le village organise une grande fête avec des aliments tout en papiers qui reprennent leur aspect normal dès qu’on l’introduit dans la bouche.

Mais tout à coup, notre tante Cigalette prend la poutre d’escampette, car il y a une armée de souris en papier et tout en courants, prennent vie et tente de l’attraper pour la dévorer, faute de manger les blédicouches, elles vont donc dévorer tante Cigalette, l’hiver est bien rude pour de petites souris affamées.

Tante Cigalette à beau prendre ces jambes à son cou, elle fait du sur place et la troupe de souris a commencé l’escalade de son corps, elle ressent comme un pincement à son menton !

Aïe ! Au secourt ! Tante Cigalette ouvre les yeux et devinez qui vient de lui mordiller le menton ? Poussy voyons, il adore çà le menton en galoche de sa maîtresse…

Morale de cette histoire ?

Mes amis ne faite jamais de savant mélange afin de trouver un sommeil réparateur ou tout autre soucis, car il y a « plante et plante, et chacune ne s’accommode pas toujours  avec sa voisine, comme chez les humains d’ailleurs…

Cigalette

Oups! j'allais oublier la photo montage, bizzzzzzzzzzzzzzzzzz

Pas la grande forme aujourd'hui, je fait de l'acide dans l'estomac, j'avale sachet sur sachet de solution pour apaiser les douleurs, tout ce que j'avale ne reste guère longtemps dans mon estomac, conclusion, je me suis mise à la diète, de l'eau plate encore et encore!

Faut dire que je suis sur les nerfs ces derniers jours, problèmes divers familiaux et en plus  avec le bouc du voisin qui aujourd'hui à décider( faute de nourriture et d'eau, de foin et autres de traverser toutes les clôtures avoisinantes.

Il c'est d'abord rassasier dans le champs du fermier, puis a déchirer une partie de la clôture pour se retrouver chez ma vieille voisine.

Justement lorsque je suis arrivée chez elle pour la prévenir son petit fils arrivais, nous avons essayer de repousser le bouc mais en vain, il a donc appeler la police.

Mais le bouc, a alors renversé la tôle de séparation entre mon jardin et celui de ma voisine, là il a dépassé les limites, ni une , ni deux j'ai appeler mon propriétaire et avec l'aide d'un autre voisin nous avons enfermer le bouc dans un petit poulailler, re coup de fil à la police de mon propriétaire, en vain...

De mon côté j'ai appeler plusieurs sociétés pour les animaux, dont la S PRA société royale pour la protection des animaux, vu que le voisin de veut plus de son bouc, mais à nouveau j'ai fait choux blanc.

Donc, j'espère au moins que demain la police feras son travail, car je ne peut hélas pas me permettre d'ouvrir la porte du cagibis pour donner de l'eau ou de la nourriture au bouc, il aurais tôt fait de me foncer dessus...car il est assez agressif!

Et je ne tiens pas de le retrouver mort de faim et de soif...il a droit lui aussi a une fin de vie tranquille.

Ce soir Tévé dans ma chambre allongée sous la tonne de couettes avec mes chats et mon chien à mes pieds.

J'espère que demain mon estomac se calmeras, et que j'aurais put dormir une nuit entière, car tous les jours debout à 3h, cela devient pénible...

A ce train là je ne tiendrais pas le coup bien longtemps.

Gros bisous, et j'espère que demain je pourrais pondre quelque chose, en attendant, voici un beau champignon, ombrelle pour abriter les fourmis:-))

Et nouveaux grignotages des castors, là aussi un vrai casse-tête...afin d'empêcher les propriétaires des arbres ronger de tirer sur ces castors...

Cigalette

Ma belle-fille( épouse de mon fils) vient de m'envoyer deux photos des garçons, Giani 4 ans et Angelo 2 ans, ils ont été voire saint Nicolas, le plus grand , il n'a pas eu peur, par contre Angelo, là franchement le grand saint l'a fortement impressionner.

J'ai eu mon fils au téléphone  il y a 5 minutes, il me disait que Giani aurais bien voulu que mamy vienne à la fête des grands-parents de son école, mais que maman et papa lui ont expliquer que mamy habitait beaucoup trop loin.

Alors il a répondu" elle auras des photos alors!" Ah les petits , ils ont réponse à tout.

Puis deux photos , une du petit fils de mon amie Odette, petit Jules avec mon chien Billy, et une avec sa maman, ils sont venus me dire bonjour à la foire saint Martin.

J'espère avoir aussi bientôt une photo de mes deux autres petits enfants et le grand saint.

J'en ai une de l'an passé, mais pas de cette année!

J'en profite pour vous annoncer que mon voisin à enfin de nouveau de l'électricité, la société où mon mari à travailler à répondu à mon mail et ils ont donner un coup de pouce à la réouverture du compteur  qui c'est fait ce matin vers 21 heures.

Et demain je vais téléphoner à la personne que m'a conseillé le service sociale, pour voire si ils veulent adopter le vieux bouc de mon voisin, car avec ces deux genoux claqués a cause de son accident de ce WE, il nourrissait déjà pas sa bête, encore moins maintenant, et moi, je n'ai plus la force de grimper le talus pour lui donner à manger.

Voilà, je vous souhaite donc une bonne soirée, je vais essayer de manger un petit bout, et ensuite je continuerais à visiter vos pages et répondre a vos commentaires, gros bisous et douce soirée.

Cigalette

 Angelo

Giani

 Angelina & Maximillian en 2009

 Petit Jules et Billy

 Cécile et son fils Jules 

Et bien en voici, une de jolie surprise, nouvel arrivant au resto Cigalette, j'ai le plaisir et le bonheur de vous présenter madame " Bouvreuil Pivoine "

Celà faisait bien longtemps que je n'en avait aperçus près de chez nous.

Cigalette

Toutes bien alignées sur les fil électrique, avec comme arrière plan la brume matinale, voici les corneilles noires.

Cigalette

Ce matin, je vous offre de faire des bulles avec les pierrots, çà vous dit?

Cigalette

Je ne trouve pas de mots assez beaux, pour définir ce spectacle fabuleux.

Je dirais que je vais vous présenter, les tableaux du Maître suprême, j'en suis restée muette d'admiration quand j'ai vus ce magnifique coucher de soleil sur le mont des pins!

Cigalette

Je vient il y a peu d'avoir mon voisin dont le courant est toujours coupé qui est arrivé chez moi en s'aidant de deux béquilles, en voyant ma mine étonnée il m'a expliqué??? qu'en voulant éviter une voiture dans la nuit de vendredi à samedi, il avait été percuter un arbre avec la moto de son amie et qu'il est tombé dans la rivière, qu'il a mis beaucoup de temps avant de pouvoir gravir la pente et rejoindre la route!???

Il a ces deux genoux gonflés et ne veut pas appeler son médecin, car on doit venir demain rouvrir le compteur????

J'ai bien tenter de le convaincre de se faire soigner, mais bon, je ne suis pas une une macrale ( sorcière)...

Mon amie vient tantôt, nous irons donc au petit magasin du coin, faire quelque courses pour mon voisin  et ces animaux.

Je vais aussi essayer de trouver quelqu'un qui voudrais adopter son vieux bouc, car l'hiver approche à grand pas et si il y à autant de neige que l'an passé, je ne me vois pas aller faire tout le tour pour la nourrir et lui donner quoi? je ne vais pas payer à nouveau de ma poche, donc, je trouve que donner ce bouc est une bonne solution et son propriétaire ( le voisin) est d'accord.

Entre temps pas facile de faire comprendre aux gens que le castor, qui ronge les troncs d'arbres pour ce nourrir sur quelques propriétés des environs qu'ils ne peuvent pas l'abattre, que c'est un animal protégé.

Bien que je comprennent leur désarrois face aux dégâts qu'occasionne les castors qui me semblerevenus en force dans nos rivières Wallonne, pas facile d'ôter cet instinct  de chasse chez l'être humain dès que l'on touche à sa propriété, surtout chez ceux qui sont contre le retour de cet animal chez nous.

Quand il s'agit de protéger sa propriété à tout prix, tout les moyens sont bons pour y parvenir, même si il faut tuer!

Ils doivent entourer leurs troncs d'arbres avec du grillage de poules, peu onéreux, oui mais voilà, c'est du travail supplémentaire....

Puis je suis aussi occupée à terminer mes cadeaux de fin d'année pour amis et parentée, je lessive , et je pianote sur mon clavier...journée donc bien remplie.

Merci à tous de vos visite, j'arrive sur vos pages mais en douceur:-))

C

Parfois nous les parents retraités, nous n'arrivons pas toujours à faire comprendre à nos enfants que nous préférons mille fois mieux rester  entre nos quatre murs que d'aller faire la fête, surtout quand on vient de perdre celui qui guidait  nos pas depuis tant d'années.

Que chaque être humain à ces préférences, son style de vie, certains aiment sortir, aller au cinéma, passer une journée entres copines e t c...

Par contre d'autre, ( comme moi par exemple ) j'ai horreur de ce genre de sortie, je ne me sent bien que chez moi, je suis du genre anti-serpillère chaque jours, juste le vendredi, anti-repassage, juste quand il le faut, et anti -produits de beauté, coiffeurs et autre choses du style.

Du moment que je porte des vêtements où je me sente à mon aise,  que je puisse faire ma balade près de la rivière, boire une  tasse de café avecmon amie Marie ou avec Odette ou les autres voisins, entourée de mon chien et de mes deux chats, de mes amis à plumes dans le jardin, que j'aie de quoi bricoler, je suis bien...

De recevoir mes enfants et petits enfants quand ils le décident, du moment que ce n'est pas la grande cohue, alors là çà va, ma tension reste cool, sinon, elle grimpe vite l'échelle...s'ensuit alors un mal de crâne tenace!

Mais sur notre bonne vieille planète chacun est libre de vivre comme il l'entend et suivant ces goûts.

VIVRE LIBRE....

Ci dessous un texte trouver dans le journal de la paroisse...

Les vieux c'est pas facile!

Pourtant même âgés, ils restent nos parents.

Accepter de les voir vieillir c'est s'offrir l'occasion de bien vivre.

Parce qu'ils sont âgés, parce qu'ils ne sont plus avec nous ce qu'ils furent quand nous étions plus jeunes, parce qu'ils donnent maintenant l'impression de ne plus servir à rien, de ne plus supporter le bruit et l'agitation, nous finissons par ne voire face à nous que des vieux là où il s'agit pourtant de nos parents.

Comment les comprendre, comment les aimer encore?

Regard d'urgence sur ce qu'est, simplement, leur vieillesse et notre désarroi face à elle.

Les personnes âgées construisent leur univers.

Papa et maman vieillissent.

Même si cela échappe à notre regard, leurs modes de vie, de penser, d'action changent.

Maintenant seuls, âgés donc diminués physiquement, ils construisent leur univers et s'éloignent doucement mais sûrement des personnes que nous avons connues et avec qui nous avons passés tant d'années.

Dans la majorité des cas, nos parents vivaient en couple, si l'un des deux meurt, la perte de sa moitié, pour celui qui reste, accélère le processus de vieillissement et engendre de profonds bouleversements dont nous n'avons pas forcément conscience.

Le vieillissement du ou des parents est souvent source de conflit avec les enfants.

Cette vieillesse que l'on ne connaît pas, que l'on ne comprend pas!

Comment un enfant peut-il accepter de voir vieillir son père, sa mère?

Comment accepter qu'un jour ils lâchent prise et nous laissent mener notre vie et celle de notre progéniture.

Papa, maman, secouez-vous!!!

Pendant des siècles on vivait avec ses vieux, même ses très très vieux, et on savait utiliser au mieux leurs compétences, leurs expériences, leurs savoirs, et leur sagesse acquise.

Puis plus ils vieillissaient, plus on les laissait se reposer, plus on s'adaptait à leur rythme, leurs silences, jusqu'à les laisser s'assoupir dans leur monde et enfin préparer leur mort.

Depuis quelques décennies, tout cela est terminé et nous n'avons plus aucune éducation naturelle sur ce qu'est la vieillesse ordinaire, au quotidien.

Cet apprentissage à la vieillesse, puis à la mort, qui se faisait tout naturellement depuis le plus jeune âge dans tous les foyers, a disparu ou presque.

Alors comment comprendre et accepter ce pour quoi nous n'avons pas été formés?

Alors, sachons être à leur écoute, sachons  les comprendre,  les aider, même si la tâche est parfois difficile, même s'ils se répètent, même s'ils ne sont plus aussi beaux et aussi propres qu'avant, même si leur vie est plus lente que la nôtre et que nous n'avons pas le temps.

Car, quoique l'on dise, nous sommes maîtres de notre temps puisque tout est question de priorités.

A chacun de réfléchir sur les siennes, sans oublier que la mort est sans retour et que les larmes plus tard, ne remplacerons jamais nos parents qui seront disparus.

Auteur: Jean-Luc Mercier

Cigalette